this is the end
My only friend, the end...
Ben cette fois ci, pas de photo pour vous presenter ma santé capillaire, mais je crois quand même avoir atteint mon paroxysme blondesque.
Je viens donc tout fraichement d'arriver, ce qui peut paraître paradoxal car je suis pas frais du tout après 26 heures de voyage, sur lesquelles j aurai réussi à dormir au moins une demi heure grâce au nullissime kung fu panda (entre autres nullités qu on m'a servies en choix imposé). Heureusement je peux m'écouter une petite compil du métro mexicain pour me calmer les nerfs, après les différentes embûches que le sort m'aura réservé au long du voyage ; mon billet qui sort pas à mexico, les deux heures de transit à washington entièrement dédiées à faire la queue pour la migra... résultat faut courrir un peu après, et se retrouver en chaussettes à passer les portiques de sécurité pour s'entendre dire qu'il faut revenir en arrière récupérer son bagage de soute pour y mettre ma bouteille de mezcal achetée en duty free parce que avec les américains, le duty free aussi c'est dangereux. Bagage qui du coup s'égarera en chemin, probablement à présent sous le joug des brigades anti-terroristes qui voit dans le petit vers au fond de la bouteille une nouvelle arme nématodologique de destruction massive...
Donc voilà, on vous l'avait sans doute déjà dit, mais c'est vrai, faut vraiment pas passer par les états-unis.
Sur ce je ne vais pas épiloguer pendant des heures sur ce que j'aurais appris de ce voyage, probablement pas grand chose si ce n'est qu'à présent, quand j'essaie de parler allemand à l'aéroport de frankfort j'ai vraiment que de l'espagnol qui vient (ne me demandez pas ce que je suis aller foutre à frankfurt). Allez, à la douche maintenant.